Català | Castellano | English | Français | Deutsch | Italiano | Galego | Esperanto
En aquest lloc «web» trobareu propostes per fer front a problemes econòmics que esdevenen en tots els estats del món: manca d'informació sobre el mercat, suborns, corrupció, misèria, carències pressupostàries, abús de poder, etc.
Titre | Qui sommes-nous? | Contact e-mail | Blog

Publications du Centre d'Études Joan Bardina:

Petite histoire de la monnaie.
Agustí Chalaux de Subirà, Brauli Tamarit Tamarit.

Le Capitalisme Communautaire.
Agustí Chalaux de Subirà.

Un outil por construire la paix.
Agustí Chalaux de Subirà.

Légendes sémitiques sur la banque.
Agustí Chalaux de Subirà.

Monnaie télématique et stratégie du marché.
Magdalena Grau, Agustí Chalaux.

Légendes sémitiques sur la banque.

L’ENTENTE JUDÉO-CHRETIENNE DE LA CATALOGNE.

Conférence faite para Agustí Chalaux de Subirà dans la Salle Claret, le 22 février 1990.

Index :

Note : Agustí Chalaux écrivait avec des lettres majuscules quand il faisait allusion à des choses concrètes, quand il s’agissait d’abstractions il écrivait avec des minuscules.

Légendes sémitiques sur la banque.

INTRODUCTION.

  1. Notre ami commun Antoni de Gibert m’a fait promettre de faire, sur-le-champ, non pas une conférence, donc je n’arrive pas à ce niveau, mais une causerie entre des vieux amis de L’Entente judéo-chrétienne de la Catalogne, et encore à bâtons rompus, comme le disent mes ex-futurs paysans, les français.
  2. Je vous prie de m’excuser de donner cet exposé en catalan, une langue dans laquelle j’ai certaines difficultés, car tout ce que je dois dire je le pense avant en français, et puis je le traduis au catalan.

Si vous me demandez de parler en espagnol, je suis à votre service, mais je dois vous prévenir que ce sera encore pire, parce que ma pensée en français je la traduis mentalement au catalan et seulement après cette première gymnastique (traduction – trahison) je parviens à la traduire / trahir en espagnol. À mon âge ma tête ne marche plus trop bien, et si je suis obligé de parler en espagnol, un mot quelconque, même le plus commun, des fois me fait chanceler, je m’arrête net dans mon discours et dans ma confusion je ne me souviens plus du mot équivalent en français.

  1. Si j’arrive à vous intéresser, j’en serai heureux, non pas pour moi mais pour l’idéal que je défends : la libre foi d’Abraham dans le Très-Haut, et dans cet encadrement de confiance totale, de faire tout ce qui est librement dans nos mains pour chercher de résoudre chaque problème naturel-social qui apparaîtra au long de notre vie, et chercher de résoudre, sous la plus vaste et intense fraternité humaine, tous ces problèmes que, même s’ils nous apparaissent énormes à niveau de terre, ils ne sont rien sous le Regard Souriant du Seigneur de toutes les nations.

Si je n’arrive pas à vous intéresser au grand problème de la banque, une institution aussi ancienne que les premières civilisations de l’Asie du sud-ouest, il y a plus de 9.000 ans, d’avance je vous prie en toute humilité de vouloir me pardonner.

  1. Je diviserais mon exposé en trois parties :
    • 4.1. Dans la première j’essayerai de résumer tout ce que j’appris d’un grand ami, en plus que banquier renommé, pendant mon adolescence et jeunesse.
    • 4.2. Dans le deuxième partie j’expliquerai comme je l’ai connu, et les deux premières légendes qu’il exposa dans une conférence quand j’avais 14 ans et je me suis perdu entre des gens sérieux. À la fin de son exposé j’étais entré en jeu d’une façon plus ou moins inconvenante, comme d’habitude, et cela avait donné lieu à que le grand banquier décide de s’occuper de moi, insignifiant garçonnet aux culottes courtes.
    • 4.3. Dans la troisième partie je donnerai mon opinion :
      • 4.3.1. en premier lieu sur mon bon vieil ami ;
      • 4.3.2. et finalement sur :
        • la monnaie
        • l’argent
        • la banque
        • les emprunts bancaires chichement usuriers avec des intérêts très hauts à la faveur d’une banque qui utilise, sans payer aucun intérêt ou payant un intérêt très bas, des ressources d’autrui qui n’ont pas été engagées, mais simplement forcées pour beaucoup de raisons antisociales.
        • Et sur l’invention imaginative et usurière en gros de la grande banque privée mondiale, peut-être déjà disparue au détriment de tous et à la faveur de « banques semi-publiques », appelés par surcroît démocratiques, responsables de toutes les atrocités connues, comme la dette extérieure du Tiers Monde.

Première partie. La banque.

Et bien, je parlerai donc de la BANQUE par la bouche d’un vieux ami, déjà décédé, qui fut si bon et délicat avec moi, que je ne le méritais pas, et encore moins à l’âge quand je l’ai connu. Pendant dix ans de ma vie il m’enseignait à Paris – chaque fois que j’y allais et je demandais de le voir – ce qu’était la Banque, suivant un plan pédagogique adapté à mon âge, et selon des légendes de sa tradition dynastique, supportant patiemment mon esprit lent et mon mauvais caractère, fréquemment plus raboteux et insolent que ce que j’aimerais moi-même dans une discussion quelconque.

A l’heure actuelle, et après beaucoup réfléchir pédant ma vie de bouleversements continus (lycées français, baccalauréat français, vacances splendides à Barcelone et dans toute l’Europe continentale, École de Chimie à Mulhouse, guerre incivile à Barcelone de 1936 à 1939, et Deuxième Guerre Mondiale en France de 1939 à 1945, le retour à Barcelone, etc.), je considère la BANQUE absolument indispensable pour n’importe quelle société civilisée : une grande partie du bien-être progressif et du progrès technique productif de l’histoire est dû à la constante action intuitive des plus grands banquiers du monde.

Si ceux qui occupaient et occupent les sièges de la haute politique et les cupules dirigeantes des sociétés historiques eussent fait leur métier libéral avec une exigence communautaire aussi altruiste et désintéressée à longue échéance comme les banquiers ont fait leur métier monétaire, essentiellement égoïste et individualiste, lucratif et intéressé à courte échéance, la situation serait bien différente pour tous. Comme le disait mon ami, le grand banquier, avec un cynisme désarmant, « Quand j’achète des politiciens et des hauts fonctionnaires, je fais mon métier de banquier. Monte en colère avec eux. Quand ils se laissent acheter par moi ils ne font pas leur métier de politiciens inconditionnels au service public de leurs peuples. »

Si vous pouvez, allez au théâtre voir Le banquier anarchiste, de Pessoa, et vous vous rendrez compte que les banquiers font réellement leur métier quand ils corrompent les politiciens et d’autres dirigeants moraux, car c’est ceux-ci qui ne font par leur métier en se laissant corrompre en secret par les banquiers.

Ce que mon grand ami et banquier cherchait à me faire comprendre, en disant avec un sourire ironique : Quand tu auras compris ce que je t’explique, il fera longtemps que je mange les pissenlits par la racine, est ce qui suit : l’instrument le plus élégant, facile et effectif à la disposition des politiciens pour résoudre les problèmes matériels de leurs peuples est le contrôle de la monnaie et de l’argent – ab ovo,à partir de leur naissance.

Mois je l’ai compris finalement, mais je n’ai jamais arrivé à le faire comprendre à mes interlocuteurs. Probablement c’est ma faute, parce que je ne sais pas l’expliquer comme il faut. Je suis trop technique, et la technique ennuie, sur tout quand les techniciens « économistes », qui avec leur rhétorique convaincante en savent plus que nous, ils prêchent depuis des siècles juste l’opposé.

Mon ami, – le grand banquier, cynique et charmant – me disait des choses que plus tard j’ai vérifié par l’étude de la préhistoire et de l’ethnographie actuelles, et qui montrent sa grande culture humaniste, qu’il était 50 ans en avant de tout ce que, officiellement, enseignaient les savants de ce temps (1925-1939).

Par exemple il me disait que tout au long de son évolution de millions d’années, l’homme a essayé deux systèmes de structures sociales y techniques complètement différenciées :

  1. Une structure originaire de « PARTAGER ET PROGRESSER DE FAÇON NATIONAL–COMMUNAUTAIRE », - une structure exclusive pendant des millions d’années -.
  2. Une structure beaucoup plus récente, - même si elle fait partie du préhistorique moyen et supérieur – de PRODUIRE PLUS ET MIEUX, MAIS À LA CHARGE DE LIBRES AGENTS PRIVÉS D’UN MARCHÉ LIBRE OU CAPITALISME PRIVÉ, qui a englouti toute la structure antérieur dans le sens matériel le plus superficiel, mais non pas dans son souvenir nostalgique chez tous les peuples de la terre.

La première structure de PARTAGER ET PROGRESSER EN PLEINE LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, SOLIDARITÉ NATIONALE COMMUNAUTAIRE, est débouchée finalement (mais, selon les ethnohistoriens, cela arrivait il y a environ 500.000 ans ) sur UN SYSTÈME CUMULATIF, appelé techniquement CAPITALISME, QUI SPONTANÉMENT ET DE FAÇON EXPANSIVE, D’UN MANIÈRE IMMÉDIATE DISTRIBUAIT TOUS LES EXCÉDENTS PRODUITS, GRÂCE AU PROGRÈS CULTUREL ACCUMULÉ, DE FAÇON ÉGALITAIRE À TOUS LES MEMBRES DE L’ENDO-ETHNIE MÈRE, SOIT AUX PRODUCTEURS-CONSOMMATEURS SOIT AUX SIMPLES CONSOMMATEURS (FEMMES ENCEINTES ET QUI ALLAITENT, ENFANTS, ADOLESCENTS, BLESSÉS, MALADES, INVALIDES, HANDICAPÉS, VIEUX, INUTILES DE TOUTE SORTE...).

La deuxième structure est beaucoup plus tardive et son nom technique est MARCHÉ OU CAPITALISME PRIVÉ pour la simple raison qu’il se base essentiellement sur la PROPRIÉTÉ PRIVÉE QUI PRIVILÉGIE DE MULTIPLES AGENTS LIBRES (GROUPES, INDIVIDUS ET DYNASTIES), AUXQUELS LE SYSTÈME EXIGE D’ÊTRE TRÈS COMPÉTENTS ET ENCORE PLUS COMPÉTITEURS, au moins apparemment, INTÉRESSÉS UNIQUEMENT À PRODUIRE DAVANTAGE ET MIEUX des valeurs utilitaristes, de plus en plus sophistiqués et excitateurs de l’égoïsme plus primaire, non seulement complètement éloignés de toute solidarité nationale, mais en plus avec une très forte tendance à faire sauter toutes les limitations et frontières ancestrales entre toutes les nations de la terre.

Au fur et à mesure qu’il me faisait comprendre cette lente évolution humaine, mon ami me répétait un couplet qui ne s’est jamais effacé de mon esprit.

  1. En temps historiques – commencés dans l’Asie sud occidentale il y a à peu près 10.000 ans, comme résultat de la révolution néolithique, dont nous ne savons rien, sociologiquement bien documentée – ont commencé à apparaître ce que les français appellent des cités. Le français a pris cette expression du latin CIVITAS, mais avec la signification de URBS, c’est-à dire CITÉ-EMPIRE, une notion historique qui réunit – tout petit que ce soit – toute la société civile, tout l’espace-temps géopolitique dans le sens guerrier stratégique le plus primitif et féodal.

Dans ces derniers 12.000 ans, selon mon banquier pédagogue :

    • 1.1. revenait au « politique »
      • 1.1.1. l’harmonisation et l’équilibre économique des deux structures sociales et techniques mentionnées, soit opposées ou complémentaires :
        1. LE CAPITAL PRIVÉ, ÉNORMÉMENT PRODUCTIF.
        2. LE CAPITALISME QUI DISTRIBUE À LA COMMUNAUTÉ DE FAÇON ÉGALAITAIRE LES EXCÉDENTS DE PRODUCTION, à peine CEUX-CI ARRIVENT AUX MARCHÉS SPÉCIALISÉS DE LA CONSOMMATION PRIVÉE ET DE L’INVESTISSEMENT PRIVÉ.
      • 1.1.2. le plein contrôle personnel et responsable (ARQUIA)
        1. DE PARTAGER ET DISTRIBUER DE FAÇON ÉGALITAIRE TOUS LES BIENS PRODUCTIFS EXCÉDENTS sur le « pouvoir » d’achat commercial-privé librement activé par ses propriétaires privés libres et légitimes.
        2. Selon l’harmonie et l’équilibre autoéconomiques, qui sont la seule condition judicieuse du PROGRÈS CULTUREL CONTINU DE CHAQUE SOCIÉTÉ CIVILE OU EMPIRE, DE CHAQUE CITÉ ET SON BIEN COMMUN, OU OIKOS, VICUS... TOUTE LA POPULATION.

Selon lui, l’idée de RICHESSE COMMUNAUTAIRE DANS CHAQUE EMPIRE – exprimée avec le terme grecque de oikos (racine des mots ECONOMIE, ECOLOGIE, OEKOUMÈNE) – se matérialise dans le nombre de LIBRES AGENTS CONSOMMATEURS ET INVESTISSEURS, LES PREMIERS AVEC UNE ÉDUCATION ET INSTRUCTION QUI DEVIENT MEILLEURE JOUR PAR JOUR, LES DEUXIÈMES AVEC UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE ET D’ENTREPRISE DE PLUS EN PLUS EFFICACE.

    • 1.2. Très au contraire, le banquier a une fonction principale dans le MARCHÉ PRIVÉ, où l’idée de « RICHESSE » est beaucoup plus limitée et PRIVÉE, et elle se matérialise dans le nombre de LIBRES AGENTS PRODUCTEURS PRIVÉS : ENTREPRENEURS, INVESTISSEURS, TRAVAILLEURS, INVENTEURS.

Malgré tout ce que puissent dire les pseudo-révolutionnaires de pacotille, une grande partie du bien-être progressif et du progrès technique et productif dans l’histoire des derniers 4.500 ans doit être attribuée aux banquiers, responsables aussi de méfaits encore plus grands.

Finalement, je veux souligner que dans les deux légendes qu’il expliquait dans la conférence où je l’ai connu, ce malin parlait de deux personnages plus ou moins bien documentés historiquement, où, en fait, les deux personnalités de « politicien » et de « banquier » se mélangeaient, - en effet on ne savait pas où commençait l’un et où finissait l’autre -.

Deuxième partie. Comme je l’ai connu et les deux légendes initiales.

Et bien, ceci dit, qui est la fin de ma première partie, nous recommençons par le début qui, comme toujours quand on veut résumer l’esprit de ce qu’on dit, est ma deuxième partie.

Un jour, dans un village de la douce Provence – dont je garde des souvenirs merveilleux, mais dont je ne veux pas même évoquer le nom, car, n’étant pas moi-même un chroniqueur de la vie contemporaine, je ne veux pas donner trop d’indications aux historiens professionnels et pour tant laisser tous les doutes de si ce-ci est vrai ou pas – comme je disais dans un village de Provence où j’étais pensionnaire (ce qu’en France on appelle Lycée), je m’échappais un après-midi que j’etais ennuyé, suivant une habitude que jusqu’alors m’avait donné de bons résultats, parce que j’avais une montre qui marchait et que j’avais étudié les horaires extrêmement rigides et systématiquement policiers.

J’avais 14 ans, on était en 1925 et, naturellement, je finis au cinéma, qui était la drogue de ce temps.

A la sortie je passai devant d’une salle à conférences, qui voulait imiter celles de Paris, et je tombai en arrêt devant d’une grande affiche qui annonçait Le rôle du financier dans la cité. Malgré les remords que je commençais à avoir et le danger sûr d’arriver tard à mon « hôtel «, je décidais que, étant l’entrée gratuite, le jeu valait la chandelle. A cause de ma condition d’étourdi, reconnue par tous, peu de fois j’osais me présenter avec mon mauvais caractère dans n’importe quel cénacle.

Je m’assis assez loin de l’estrade, dans le dernier fauteuil, à la fin. J’étais protégé de tous regards indiscrets, tandis que la salle se remplissait de grandes personnes entre 30 et 60 ans, la majorité avec des barbes solennel-les et des moustaches formidables.

Le conférencier, qui m’apparut comme « un homme du grand monde », sans complexes et avec une aisance totale, expliquait ce qu’il avait décidé de dire et rien que ça, sans aucune annotation à la main, et avec un aplomb de personne habituée à parler des choses qu’elle savait, quand et comme elle décidait. Et il savait beaucoup. Son discours s’écoulait avec élégance et précision.

  1. Son habileté me laissa à bouche ouverte, avec ses anecdotes ou légendes que, pour moi, dépassaient tout le reste.
  2. Bien, vous savez déjà ce que signifie le mot « cité » en France : sans aucun embarras il passait à les appeler cité-empire pour parler des petites citadelles principales dans lesquelles était née la banque dans l’Asie sud occidentale il y a environ 8.000 ans, et empire pour parler de l’Égypte des pharaons.
  3. Alors en premier lieu il racontait l’histoire de l’hébreu Joseph, ministre-banquier tout-puissant du pharaon envahisseur, hyksos, c'est-à-dire aussi sémite. En deuxième lieu une autre légende sur Salomon, fils de David, selon mon ami « grand roi et encore meilleur banquier », tout ensemble.

J’expliquerai d’abord la légende plus courte sur Joseph. Selon le conférencier, le coup de génie de Joseph fut de s’inventer, à partir d’une agriculture de subsistance, une période de GRANDS EXCÉDENTS DE PRODUCTION DE BLÉ simplement par l’annonce, démontré en fait pendant une longue période de temps, que lui, Joseph, était prêt à tout acheter. Cette période d’abondance suscitée par un grand « financier » a été appelée des « septe vaches grasses », à cause de la manie sacralisante du numéro 7, car on ne sait pas combien de temps exactement ça se prolongeait.

Par rapport à Salomon l’histoire fut encore plus facile, bien qu’elle fût beaucoup plus longue.

La renommée extraordinaire de Salomon comme un grand roi et meilleur banquier était arrivée au roi de Tyr et au roi de Sidon, des ports commerciaux de premier ordre dans ces temps de navigateurs universels et de caravanes entre la Méditerranée et l’Océan Indien.

Nous nous limiterons au roi de Tyr. Ce roi envoya un ambassadeur chez Salomon pour lui demander conseil sur un problème policier qu’il ne savait pas résoudre et qui réduisait le nombre d’ouvriers portuaires et d’habitants de Tyr, qu’il considérait la vraie richesse de sa cité-empire.

Salomon arrêta le diplômât avant qu’il puisse lui expliquer rien et lui dit que, si le roi de Tyr avait intérêt à lui demander conseil, il fallait commencer par le début : établir de bonnes relations diplomatiques régulières, signer d’un commun accord un traité avantageux pour les deux parties, et, comme preuve de bonne foi et amitié encore meilleure, accepter le mariage de Salomon avec sa fille plus belle et bien-aimée.

Tout eu lieu selon les désirs du grand « roi-banquier ». Au moment des adieux, après le grand mariage, il appelait discrètement l’ambassadeur et lui dit :

- Bien, maintenant je peux écouter le problème pour lequel le roi veut un conseil et, si possible, une solution efficace et permanente.

L’ambassadeur lui exposa que le problème policier était le suivant : le prolétariat portuaire de Tyr, de temps en temps, se révoltait faute de pain et mettait à sac avec une violence terrible, affrontant les surveillants, les magasins du port de blé et de farine, où aussi il y avait des marchandises plus précieuses. Le roi n’avait d’autre option que d’envoyer la garde royale et casser des têtes tant qu’il fut nécessaire pour en finir avec ces révoltes épisodiques et spontanées, qui pouvait augmenter si on ne les écrasait pas vite et fort.

  1. Des paroles de l’ambassadeur, Salomon arriva à la conclusion suivante :
    1. quand il y a beaucoup de blé et de farine dans les entrepôts, les salaires sont tellement bas que, même si les prix baissent, les familles pauvres ne peuvent pas acheter ni pain, ni farine, ni blé.
    2. quand il n’y a presque ni de blé ni de la farine – même si les salaires des ouvriers portuaires augmentent – les prix sont tellement hauts que la situation est encore plus tragique pour les plus pauvres.
  2. Son conseil fut exact et court : Je te donne une lettre pour ton roi et je t’explique son contenu, mais je te l’explique seulement à toi. Personne ne doit savoir rien jusqu’à quand le roi exécute la décision que je lui conseille. Dans la lettre je lui dis au roi que, si tu est indiscret et il y a des fuites de ton secret diplomatique, pour des initiés, il t’applique immédiatement la peine plus légère : la peine de mort. Tu dois bien entendre, soit pour cette foi comme pour tes prochaines visites.

- Alors mon conseil est d’ABOLIR LES DOUANES. Quand elles auront été abolies, tu laisse passer deux ans et tu viens me voir.

Le pauvre ambassadeur se plaignait : c’est impossible d’abolir les douanes, le trésor royal s’en nourrit. Salomon souriait : il connaissait très bien tous les tripotages que le système douanier corrompu de Tyr permettait et auxquels l’ambassadeur prenait part.

- Bien, ne discutons pas. Transmet mon conseil à ton roi et reviens deux ans après sa mise à point.

A Tyr le roi se décidait, suivant le conseil de Salomon, à abolir les douanes et, instantanément, les capitaines de bateau et les chefs de caravanes, ainsi que les importateurs-exportateurs, reprirent haleine très satisfaits. Avant, pour ne pas payer tellement de droits de douane, les déclarations de marchandises se réduisaient d’une manière générale à la moitié de la quantité vraiment embarquée ou chargée ; le document douanier officiel, par exemple, était d’une valeur monétaire de 10, sur lequel on payait, supposons, 2 de douane.

Ceci dit, comme que les marchandises à ces temps-là valaient leur poids en or, les petits marchands et leur transporteurs faisaient des contrats d’assurances pour la perte des chargements qui respectaient la valeur réelle, par exemple 20, pour laquelle ils auraient dû payer 4 de douane au lieu de 2. Quand un bateau ou une caravane se perdaient, les sociétés d’assurances, déjà très florissantes à ce temps là, disaient à l’importateur-exportateur qui avait payé les primes convenues pour le total réel commercial de chaque exportation ou importation :

- Cette différence entre le document officiel de douane et notre contrat privé d’assurance montre ton appât spéculatif. Si tu ne veux avoir des problèmes légaux, accepte notre proposition : nous divisons par deux la différence et remercie que nous ne nous limitons pas à payer seulement la valeur indiquée dans le document officiel de la douane, qui est le seul document légal.

Après le congé chez eux de tous les officiels douaniers et la suppression totale d’un système bureaucratique et corrompu, tous les commerçants, marins et chefs de caravanes, pleins d’initiative et de créativité, déclenchèrent une période fantastique de prospérité dans un marché complètement libre, sans des entraves stupides ni frais de corruption bureaucratique.

Deux ans après avoir éliminé les douanes, l’ambassadeur de Tyr, comme il avait été accordé, rendit visite à Salomon.

- Pas besoin de me donner des explications, je suis très bien informé par mes banquiers juifs de Tyr, de la situation si florissante de votre emporium commercial.

Voici ma deuxième lettre pour ton roi. Souviens-toi de ce que je t’ai dit concernant la discrétion et les crimes spéculatifs d’initiés. Je te dirai ce que je conseille à ton roi : RESTITUEZ LES DOUANES.

  1. Comme un système nouveau dans les mains des aristocrates plus riches de Tyr et de leurs esclaves comptables, ils seront tous responsables vis-à-vis du roi de la transparence du système, qui en outre sera très facile d’appliquer.
  2. Parce que on ne rétablit absolument aucun droit de douane, ni pour l’entrée ni pour la sortie des marchandises1.

Pas besoin de rien me dire. Je sais ce que tu penses et tes explications ne m’intéressent pas. Quand d’ici au moins a deux ans la chose marche parfaitement, tu reviens me voir.

Après deux ou trois ans, l’ambassadeur retourna. Salomon lui dit :

- Voici la lettre pour ton roi, avec le cachet de mon effigie. Ne t’efforce pas pour l’ouvrir et chercher de savoir, parce-que ta vie en dépend et j’insiste sur ta discrétion envers ton roi. Va et ne revient que dans deux ans.

Le roi de Tyr fit ce que Salomon lui disait :

- Invite tous les banquiers de Tyr à un grand banquet, mais seulement eux. Ne te soucie pas de mes banquiers juifs : ils obéiront rigoureusement.

Si sabessis que algun dels teus banquers no volgués venir al teu festí, anuncia al matí del mateix dia que serà instantàniament exiliat per sempre més, manu militari. I continuava indicant el que el rei havia de dir en el brindis final del banquet. Si tu te rend compte que quelqu’un de tes banquiers ne veux assister à ton banquet, annonce le matin du même jour qu’il sera exilé immédiatement à toujours, manu militari. La lettre continuait indiquant au roi ce qu’il devait dire lors du toast final du banquet.

Voici l’annonce fait par le roi quand le banquet fut terminé, auquel étaient présents tous les banquiers de Tyr en général, sauf quelques exceptions de quelques méfiants qui avaient été mis sur leurs garde, richement habillés avec tous leurs bijoux, heureux et prospères avec la richesse de Tyr :

- Mes chers banquiers : vous avez déjà vu la magnificence de mon royaume, dès que nous avons supprimé la corruption répandue de notre anachronique système de douanes et du fait que à présent les officiers s’occupent uniquement de rédiger d’une façon absolument claire les documents officiels pleinement d’accord avec le contrat obligatoire privé d’assurance pour chaque importation ou exportation. Notre comptabilité et nos statistiques officielles d’import-export sont tellement exactes que, pour la première fois, vous-mêmes confiez davantage en elles que dans vos propres renseignements bancaires privés.

Il s’agit d’un résultat pratique dont je suis heureux d’avoir solennisé avec vous tous, qui êtes l’énergie promotrice même de notre commerce.

Maintenant je vous annonce mon décret : votre corporation me payera directement à moi, à dater de ce jour et chaque mois, un droit de douane du 10% sur la valeur prix commerciale de toutes les importations et exportations faites para mer ou par terre de la place de Tyr.

Les banquiers eurent beau pleurer et gémir, se déchirer leurs riches vêtements, ils firent tant de comédie comme il savaient. Le roi, impavide se levait et marchait de la salle du banquet avec ses hauts dignitaires, chefs de douanes et gardes du corps et de la cour.

Deus ans plus tard l’ambassadeur de Tyr retourna, tout fier du succès magnifique de son roi, dont il prenait part pleinement.

- Je sais que tout marche bien, pas besoin que tu ne m’expliques rien. Voici une autre lettre pour ton roi. Souviens-toi de mon ordre de fidélité et discrétion totale, sous peine de mort. Pour cette question aussi simple in n’y a pas besoin que tu reviens.

Dans la lettre Salomon disait au roi de Tyr :

- Convoque à nouveau tes banquiers de Tyr à un banquet. Dans l’invitation, étant donné que, même si les choses leur vont mieux que jamais, ils sont échaudés du premier banquet, préviens-les que ceux qui n’obéiront pas l’ordre d’aller à ton banquet seront exécutés immédiatement et leurs femmes et enfants vendus comme esclaves.

Ainsi il fut fait et cette fois-ci à commencer para les banquiers juifs de Tyr. Ils assistèrent tous au banquet, faisant la comédie déjà historique de banquiers tristes d’aspect et de vêtement quand ils se présentent en public.

A la fin du banquet le roi annonça :

- À dater de ce jour, chaque fois que les prix moyens de libre marché sur la place de Tyr, soit à l’en gros comme au détail :

  1. s’élèvent ou baissent du 10%, la corporation de banquiers de Tyr payera un droit de douane sur le total importé-exporté de l’11% ;
  2. s’élèvent ou baissent du 15%, le droit de douane sera du 13% ;
  3. s’élèvent ou baissent du 20% le droit de douane sera du 15%.

Et ainsi de suite.

Ici termine la légende sur Salomon. Le grand banquier des premiers 40 ans du XXe siècle annonçait triomphalement que les documentas comptables-bancaires de Tyr montrent que les prix appliqués sur cette place montrent une extraordinaire stabilité pendant 70 ans, c'est-à-dire pendant tout le temps que l’influence de l’Israël de Salomon prévalut dans toute la région de Palestine et au delà.

Ici terminait la conférence de qui plus tarde deviendrait mon grand ami banquier.

Il se faisait tard pour ces français désireux de ne pas rentrer tard chez eux, et il ajouta : si quelqu’un de vous veut poser une question, je suis à sa disposition.

Mais tout le monde taisait et attendait, poliment, que le conférencier se lève pour l’imiter et marcher, alors je me lançais et annonçait que j’avais deux questions :

  1. Pourquoi il n’avait rien dit sur le rôle du banquier Joseph concernant la dure crise des 7 vaches maigres.
  2. Pourquoi il ne cherchait pas une solution semblable à celle du roi Salomon pour couper la crise encore plus dure antiéconomique annoncée comme imminente par tous les experts des ans 1919-1924.

Au lieu de se fâcher devant tant d’insolence, le conférencier dit :

- Je ne vois pas ce monsieur qui avec tant d’amabilité et ironie pose ces questions avec cette petite voix si jeune. Je soupçonne qu’il doit être de petite taille, je le prie qu’il monte sur sa chaise pour que je puisse le voir et ainsi nous saurons tous ce qu’il faut faire.

Avec toute l’insolence de mon âge et en plus fâché pour le manque de considération vers mon illustrissime moi, je montai sur la chaise. Pensez que j’avais 14 ans et je portais mes culottes extrêmement courts, selon la mode des adolescents non conformistes de ce temps. Tout le monde, et lui aussi, se mirent à rire. Il continua imperturbable : Messieurs, c’est l’heure de rentrer à dîner. Je m’occuperai de ce jeune ami et interlocuteur.

Tous marchèrent satisfaits et souriants, en me regardant comme si j’étais un oiselet ou un vilain oiseau d’une espèce rare. Heureusement personne ne me connaissait.

Tandis qu’on allait – lui, le grand banquier et homme du grand monde, et moi, tout petit à son coté – vers le restaurant de son grand hôtel, je lui racontais que je m’étais échappé du Lycée et que je devais aller vite si je ne voulais avoir des problèmes.

- « Ne vous preocupez pas, mon jeune ami. Je vous conduirai au Lycée et expliquerai moi-même que je porte toute la responsabilité de votre aventure ».

Troisième partie. Clôture.

C’es ainsi que j’ai connu le grand banquier qui, dans les années suivantes, quand je lui téléphonais que j’étais à Paris et il m’invitait à le visiter, il m’expliquait une grande quantité de ces légendes et anecdotes sur la banque « Sumer » et, en temps historiques, à partir du 2500 a. J.-C., sur l’inspiration sémitique de l’impérialisme de Sargon, et cent années plus tard, l’impérialisme kassite d’Accad-Babylone.

L’influence sémitique sur la banque fut très importante dans toute l’Asie sud-occidentale, en Egypte et dans les ports du golfe de Suez et du golfe Persique jusqu’à l’Indus et la Chine où, vers les ans du 1500 à 1000 a. J.-C. sont arrivés les marchands qui enseignèrent aux chinois l’utilisation de la monnaie comptable intra- et interbancaire écrite et des PIÈCES DE MONNAIE D’OR, D’ARGENT, DE CUIVRE ET DE BRONZE.

Si cet exposé vous a intéressé, je sui à votre service pour continuer à expliquer, tranquillement et sans hâte, ces légendes que j’écoutais de la bouche de mon banquier éducateur.

Pour terminer, je veux seulement ajouter que ces longues conversations avec mon banquier et grand ami sont continués, avec des intervalles de 3 à 6 mois entre les visites, de 1925 à 1934. Plus tard, hors une visite à commencement de 1939 et une autre en mai de la même année, je ne le vis plus. Selon ce qu’on m’a dit il mourut a New York en 1942.

Ce que plus tard j’ai étudie sur archéologie, ethnographie, histoire, progrès technique et dromologique, m’a fait vérifier jusqu’à quel point cette personne, d’un grand savoir et secrets pouvoirs de fait, devançait en plus de 50 ans la mentalité de son temps et toute la future et plus vaste documentation sur l’évolution des impérialismes mondiaux à partir du 2500 a. J.-C., quand le premier empire de Sargon I de Accad fait son apparition.

Il avait une vision humaniste et même optimiste sur l’avenir de l’humanité, bien que pendant toute sa vie il exerçait, je crois, un pouvoir de fait secret et néfaste. Son orgueil, quand il disait que au fond il était un libertaire, un anarchique (non pas un anarchiste), ne m’étonne pas, et qu’il faisait partie, avec beaucoup de ses très riches et puissants amis français, rhénans, belges, hollandais, hanséatiques, suédois, finlandais, hongrois, etc. de la FÉDÉRATION ANARCHIQUE INTERNATIONALES (FAI), qui n’avait rien à voir malgré les initiales avec la FÉDÉRATION ANARCHISTE IBÉRIQUE.

J’ai porté des photocopies d’un article « scientifique » sur la banque à Accad il y a 4500 ans. N’oublions pas que le modèle de la civilisation monétaire, de l’argent et bancaire de Accad s’imposa très rapidement en toute l’Asie Mineure et en Egypte, les deux seules exceptions dans cet aspect dans le monde ancien jusqu’au 800 a.J.-C, quand dans un petit empire hellénisé de l’Hellespont on commence la FRAPPE DE PIÈCES DE MONNAIE MÉTALLIQUE INTRINSÈQUE.

Je vous dirai comme commencèrent les seuls rapports que j’ai jamais eus avec la grande banque. Celle qui sait faire usure à l’en gros, mais avec des intérêts bas, inventant de « l’argent imaginaire-abstrait » que ceux qui ont été favoris remboursent après sous forme de argent SUÉ ET RESUÉ, GÉNÉRATEUR D’EXCÉDENTS DE PRODUCTION, QUI RENDENT COMMERCIALEMENT SOLVABLE, appelé argent imaginaire-abstrait inventé, MAIS QUI À LA PRATIQUE PEUT MERVEILLEUSEMENT PROMOUVOIR.

Le seul défaut que lui trouvait mon vieil ami (partiellement il l’expliquait) c’est que cet argent imaginaire inventé – QUI SOUTIENT COMPLÈTEMENT LE MARCHÉ GLOBAL – était l’initiative et l’appropriation privée d’une grande banque privée, au lieu d’être le résultat d’une INITIATIVE LEGISLATIVE-COMMUNAUTAIRE QUI DÉTERMINE AUTOMATIQUEMENT le montant de cet argent inventé-qui peut PROMOUVOIR en fonction DES EXCÉDENTS RÉELS POUR CONSOMMATION ET POUR INVESTISSEMENT, QUI :

Quant a la «petita» banca i als banquers de pacotilla, aquesta banca esquifida i aquests banquers mesquins, sense imaginació, només conceben llur negoci com una indigna usura del mercat que haurien de fecundar amb una professionalitat menys indigna, aquesta banca de petita usura del mercat a base de préstecs bancaris amb interessos exorbitants d'estalvis privats ja suats i ressuats, mal retribuïts o gens retribuïts per les institucions comptables on rics i proletaris es veuen obligats a dipositar llur diner.

Si on parle de la « petite » banque et des banquiers de pacotille, cette banque médiocre et ces banquiers misérables, sans imagination, ils conçoivent leur négoce comme une indigne usure du marché qu’il devraient féconder avec une pratique moins indigne, cette banque de petite usure du marché basée sur les prêts bancaires à des intérêts exorbitants d’économies privées suées et ressuées, mal ou rien rétribués par les institutions comptables où riches et prolétaires sont obligés de déposer leur argent.

  1. sans cet argent financier et de crédit inventé sont terriblement nocifs, générateurs de crises antiéconomiques très graves et doivent être détruits ou déviés vers des armements absurdes,
  2. mais ils peuvent être enregistrés selon des analyses statistiques de confiance, au jour d’hui de plus en plus exactes grâces aux progrès théoriques et pratiques faits par l’information télématique du genre « input-output » en temps réel.

Avec cette banque aussi malthusienne – spécifique des pays d’ancienne et grande civilisation, mais en pleine décadence depuis des siècles - misérablement usurière avec des prêts ridicules, des intérêts très hauts et mauvaise humeur perpétuelle, mon père ne voulait pas avoir des rapports et peut-être il avait raison, encore que cet éloignement délibéré finit par le décapitaliser à une époque de marché noir et inflation galopante. Ces banques misérables continuaient arrogantes tandis que le marché officiel vivait mal dans une déflation très dure.

Le peu de rapports que j’eus avec telles banques et telle mentalité me fit passer tous les désastres possibles et imaginables.

Mais quoi ! à mes presque 80 ans tout a été une suite d’expériences très fructueuses vis-à-vis la compréhension plus belle de la grande aventure humaine depuis 6-5 millions d’années (selon les connaisseurs) pour arriver à une très courte époque civilisée d’à peu près 10.000 ans, où la monnaie, valeurs commerciales-monétaires, valeurs libérales-monétaires, argent et banque sont les instruments privilégiés du progrès transanimal ou des récessions infra-animales de notre chronoespèce.


Note:

1La douane est introduite à nouveau comme un moyen comptable de contrôle des marchandises, mais sans appliquer des droits de douane.

Titre | Qui sommes-nous? | Contact e-mail